PRESSE FRANÇAISE
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A Clichy sous Bois au Rouaillier :
Des fées rouges dansent sous la pluie tandis qu’à Pantin après le déluge les visiteurs viennent admirer un deuxième soleil au pied des Courtillières… C’était tellement beau ce qui se passait sur cette tour, que quand la pluie s’est transformé en déluge, les gens sont restés, saisis par la grâce du spectacle. Les danseurs, admirables, trempés jusqu’à l’os ont gardé le sourire jusqu’aux oreilles lorsqu’ils ont ensuite posé devant l’anamorphose. Il y avait vraiment beaucoup de joie dans cet événement. Artémise Cren – Seine Saint Denis Habitat et AORIF Juin 2019 : FESTIVAL REGARDNEUF3 : Clichy Sous Bois : spectacle « Walldance »

ILS DANSENT SUR LES FAÇADES
Comment mettre en valeur un bâtiment, exemplaire sur le plan énergétique, dont la mission est de sensibiliser le public à l’architecture et à l’environnement ? Grâce à un spectacle de voltige en musique avec des danseurs-acrobates évoluant sur ses façades ! Pour fêter un double anniversaire, le Conseil d’architecture d’urbanisme et de l’environnement de Haute-Savoie (CAUE74) le vendredi 14 juin à 21 h, les habitants à se rendre sur l’esplanade Paul Grimault à Annecy pour assister à la performance WallDance, par la Compagnie Les Passagers dans laquelle les danseurs évolueront à la verticale sur les façades de l’Ilôt-S. Cet évènement, organisé en plein Festival du film d’animation d’Annecy, ne devrait pas passer inaperçu.
Journal Cosy City – été 2019 - ANNECY

Pour célébrer les 10 ans de l’îlot-S, le CAUE d’Annecy a souhaité mettre à l’honneur son bâtiment, il accueille la performance « Walldance » de la Compagnie Les Passagers qui depuis 1988 crée des spectacles aériens de voltige. Les danseurs s’approprieront l’espace en musique par une suite d’expériences chorégraphiques à la verticale offrant un dialogue avec le milieu. La performance Walldance nous racontera une histoire en apesanteur du paysage confrontant les corps des danseurs aux matières du bâti.
Journal Moka Addict et Mokamag– juin 2019 – ANNECY - Walldance à Annecy

La performance « Walldance », effectuée par la Compagnie
Les Passagers aura lieu ce vendredi à 21h sur la façade du CAUE (Conseil d’architecture, d’urnanisme et de l’environnement) de Haute-Savoie. Ce spectacle va célébrer les 10 ans du bâtiment et 40 ans de l’institution. Des acrobates danserus suspendus à des fils ténus évolueront sur la façade en apesanteur pour raconter l’histoire de l’humanité.
Journal Le Dauphiné Libéré – juin 2019 - ANNECY

A Poitiers aux Trois-Cités les murs ont des visages…
Pour célébrer leur cinquantenaire, les centres socioculturels ont tiré le portrait de 153 habitants impliqués dans la vie du quartier. Une trentaine d’entre-eux s’affichent sur les murs.
Soirée d’anniversaire 50+1 pour le centre socioculturel des Trois Cités avec le spectacle chorégraphique à la verticale « Vers le haut » avec sept danseurs-acrobates de la Compagnie Les Passagers qui évolueront en grande hauteur ce vendredi 23 novembre sur la façade de la résidence René-Amand : Suspendus à des fils ténus, les comédiens acrobates et danseurs de la Compagnie Les Passagers explorent les lieux urbains. Un spectacle où la poésie s’accompagne de musiques éléctroniques.
Et pour le cinquantième anniversaire +1 les centres socioculturels des Trois-Cités ont souhaité aussi valoriser l’engagement des habitants dans la vie du quartier et ont fait appel à une compagnie parisienne Les Passagers pour réaliser la transposition des photos originales des habitants en affiches peintes de 120cm sur 150cm. Et comme l’expliquaient Philippe Riou, chorégraphe-metteur en scène et Xavier Cocheton, designer de la compagnie : on dessine sur affiches les habitants d’après photos, on colle les affiches puis on les peint…
Journal Le CENTRE PRESSE – Pierre Amar : novembre 2018 - POITIERS

Le Havre (France)
Le lancement dansant et musicale du grand cargo « Saint Exupéry, "L'essentiel est invisible pour les yeux ”dit peut-être la phrase plus célèbre de ce chef-d'œuvre qui est Le petit Prince. Et qui sait si son auteur, Antoine de Saint-Exupéry, serait heureux d'avoir donné son nom à ce géant des mer et qui était récemment inauguré au port du Havre. Le navire français "CMA CGM Antoine de Saint-Exupéry ”en fait est tout sauf invisible : avec ses 400 mètres de longueur et 59 en largeur… toutefois beauté et délicatesse apportées avec la performance de ces artistes danseuses talentueuses habillées en rouge et blanc de la Compagnie parisienne Les Passagers et qui ont dansé verticalement sur la coque du grand navire suspendus à des cordes….
PRESSE ITALIENNE : SW BEST – Silvia Cimini - septembre 2018

"La Compagnie Les Passagers arrive assurément d’une autre planète !
Une planète où l’apesanteur n’est pas de mise : où la poésie s’accompagne de musiques électoniques : où le merveilleux se joue de la froideur des tubulures d’acier servant de structure au spectacle. 
Dans des allers-retours entre ciel et terre, les comédiens acrobates et danseurs, sorte d’homme-araignée ont donné un conte onirique sans se soucier du sens de la ligne d’horizon. Marchant, nageant et même peignant dans l’air, suspensdus à des fils ténus, hommes et femmes ont raconté l’histoire de l’humanité, aussi banale que époustouflant quant à la technique, ce spectacle en trois dimensions est l’une des premières du genre à Angers."
Le Courrier de l’Ouest – Edition Angers – samedi 13 septembre 2008 

"Ces 19 visiteurs du soir, voltigeurs poétiques et émerveillés, ont donné du rêve en barre... Leur chorégraphie voltigée, hallucinante potion de poésie et de théâtre, mâtinée d'une fresque vivante aux allures de voyage dans un imaginaire soudain offert sur un plateau" 
Le Télégramme, juillet 2005 

L'acrobatique chorégraphie de la troupe " Les Passagers " a conduit Mimos sur des sommets aériens. Comme de merveilleux moucherons […] une poignée de danseuses et danseurs acrobates ont dansé le plus beau des ballets. […] Ces magiciens de la troupe " Les Passagers " (basée à Paris mais investie sur la Terre entière), encordés, harnachés, ficelés mais toujours d'une souplesse aérienne, ont joué le grand jeu de la vie et de la mort. 
Tableau géant. Une aveugle retrouvant la lumière, un couple de mariés en goguette sur ses câbles, des combats de monstres et des batailles d'ombres chinoises, des entrechats phénoménaux et des chassés-croisés de toutes les couleurs : l'illustration caméléonesque de l'affrontement du Bien et du Mal prenait même les couleurs de la vie avec le fol tableau tracé à l'horizon de la nuit, au son de musiques planantes. Symphonie en muscle majeur et poignet bien trempé, ce morceau de bravoure juxtaposait échelles grimpantes et descentes précipitées, dans une ahurissante synchronisation. " 
Sud Ouest, août 2003 

" Une immense toile tendue à la verticale, où les artistes, tels des alpinistes, défient les lois de l'apesanteur pour danser, vivre et peindre une œuvre en direct. Une très bonne idée, une belle performance. " 
Dordogne Libre, août 2003

" Les Passagers : entre ciel et terre une tendre humanité 
[…] Les Passagers se hissent tels des créatures célestes ou des hommes araignées tout en haut de leur mât. Entre balancement et vertige, ces porteurs de vie, de valeurs universelles comme le bien, le mal, la joie, la peine, l'amour ou le désamour et la désillusion, se mesurent dans un affrontement aérien à travers un ballet tour à tour intime et grandiose. […] Dans une construction graduelle et fragmentaire, ce spectacle nous entraîne dans une progression et une beauté constantes à l'essence même de notre être et de sa vérité. […] L'humain déploie ici toute sa force et sa grandeur. […] sous nos yeux naît une fresque humaine, dégoulinante, ruisselante et débordante d'humanité. " 
Le journal de Saône-et-Loire, juillet 2002

" Ils adorent créer le frisson - les chutes intempestives - autant que l'émotion esthétique - la femme enduite de peinture bleue qui fera office de brosse et de couteau sur la toile déroulée. […] Les Passagers balancent les lois de la gravité. " 
Le Monde, juillet 2002 

" L'incroyable légèreté de l'être 
Ils défient les lois de l'attraction par un ballet mêlant danse, peinture et marionnettes dans un conte féerique à voir les yeux au ciel. 
[…] C'est le début de la danse, de ce jeu où celui qui monte fait descendre l'autre et se croisant, se défiant, ils s'étreignent en douleur. Chorégraphie de métronomes humains sur musique électronique. Des vitres s'élèvent, fenêtres bientôt peintes ouvrant sur le désordre et le public. Et un ange diabolique et un diable intriguant dansent à la verticale sur la grand toile de ce navire immobile pris dans la tempête. Une île volcanique ? Un vaisseau futuriste ? Et que sont ces femmes à l'avenir fœtal s'enfermant dans des cadres virtuels ? Chaque spectateur va y voir ce qu'il décide. 
Sensualité des corps luisants de peinture, valse désespérée avec un pantin dans une illusion de l'amour. Enfin, un ballet provoquant la mort de cet art éphémère dans une noyade sous une douche salvatrice. Fourmillement d'idées, succession de tableaux se référençant les uns aux autres, symboles et combats éternels se déchaînent dans cet univers narratif éclaté. " 
Le Journal dans la Rue, juillet 2002

" Un spectacle très visuel qu'on contemple avec ravissement 

[…] Leurs silhouettes trouent la nuit, en douce apesanteur et traversent un monde vertigineux à fleur de pinceaux. " Le Dauphiné Libéré, juillet 2002 

" Dix-sept acrobates dévalent à la verticale le long de la fresque, la maculant de couleurs vives au fur et à mesure de leurs descentes et de leurs remontées vertigineuses qui tiennent le public en haleine. " 
Cassandre, octobre 1998 " 

Mêlant effets sonores et visuels, les comédiens des Passagers dévoilent leur talent en donnant parfois quelques frayeurs au public Inouïs, vertigineux, impressionnants, ces oiseaux de haute voltige révolutionnent le spectacle de rue. Avec des costumes délirants par les couleurs et une mise en scène à la verticale, Les Passagers savent se faire remarquer et applaudir. "
Le Journal dans la Rue, juillet 1998

 
 
 
 
 
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